Une journée découpée entre plusieurs séquences :
Les participants sont répartis en binômes et alternent des exercices concrets liés à l'incendie et des phases de débriefing en salle.
Une mission collective est proposée dans laquelle tout le monde est impliqué.
Un bilan général permet de formaliser les apprentissages clés.
Je n'ai jamais connu de formation comme cela. Le rythme est intense. En fin de journée, le groupe avait du mal à se séparer.
Romuald Reigner - ADOCIS
À toutes les équipes qui travaillent ensemble. Par exemple : une équipe projet au démarrage. C'est l'idéal pour accélérer la cohésion d'un groupe.
Dès la première minute, en enfilant la tenue de sapeur-pompier, on se rend bien compte qu'on n'est pas dans une formation comme les autres. Ensuite, tout s'enchaîne dans un rythme soutenu.
L'intérêt du format pédagogique qu'on appelle « Action Learning » est d'accélérer l'apprentissage grâce à l'expérience vécue. On apprend davantage en agissant qu'en écoutant des contenus théoriques. Les exercices sont très confrontants et sont de bons révélateurs.
On apprend sur soi, sa façon de réagir au stress. Finalement, comment réagit-on dans des conditions d'urgence ?
Par ailleurs, en mode crise, dans ces situations de crise, la notion d'intelligence collective prend tout son sens. Mais le résultat le plus frappant obtenu à l'issue de la journée reste la cohésion qui s'est créée au sein du groupe.